dimanche 8 mai 2011

La Cour européenne de justice

.  

Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 



- LA  COUR  EUROPÉENNE DE JUSTICE - 

Par nature,  les fonctionnaires sont toujours à la recherche de quelque chose à voler. 


Sur la Cour européenne de justice,  il y a loin du discours des pourvoyeurs d’intoxication cérébrale  (L’ignorance pour le mensonge)  à la réalité. 
Les journalistes et les enseignants peuvent être bien payés,  en matière de mensonges,  ils ont du «boulot» ! 


On se souvient qu’en 1995,  le propriétaire a saisi la Cour européenne.  (Art. 3) 

Article 3 : Nul ne peut être soumis à des traitements inhumains ou dégradants. 


Cet article répond parfaitement à la situation dégradante dans laquelle les Pouvoirs publics maintiennent ces familles.  Cela au profit d’intérêts financiers privés.  (On le sait aujourd’hui.) 

La réponse : 
Sans rire !  La réponse sera : « mêlez-vous de vos affaires ».  Vous n’êtes ni parent des enfants,  ni tuteur légal de ces enfants.  Cela ne vous regarde pas !  (Allez-vous faire foutre !) 

À cette réponse,  on a le droit de rester sans voix et de souffler un peu.  Souffler un peu,  voila une bonne idée,  parce que du souffle,  on va en avoir besoin.  Ce n’est pas fini ! 

On doit supposer qu’il existe dans la Convention européenne,  un article secret qui exclut les individus de race noire du champ d’application de la Convention européenne.  (Les articles secrets,  cela existe plus souvent qu’on ne le croit.) 


Intitulé de la convention européenne :
Convention de sauvegarde des Droits de l’homme et des Libertés fondamentales,  etc.   (On en passe,  et des meilleurs.) 

Ces enfants d’Africains n’ont pas de chance.  Ils auraient été des chiens ou des chats,  un simple coup de téléphone à la Société Protectrice des Animaux et,  dans la journée,  le problème était réglé.  Cela à l’appui d’un beau scandale médiatique. 

Oui ! Mais voila !  Ces enfants ne sont ni des chiens,  ni des chats,  et la Convention européenne des Droits de l’homme est réservée aux Humains. 

La Convention européenne des Droits de l’homme,  ce n’est pas pour les « nègres » !  (Qui,  de plus,  ne sont même pas majeurs.) 

Chacun a compris.  Tout est dit.  On peut s’arrêter là. 


Une précision,  quand même. 
Dès le début,  le propriétaire donne le ton : « Les victimes sont les enfants. » 

Le propriétaire est un monsieur bien renseigné.  Il connaît la perversité du monde judiciaire,  notamment la perversité de la Cour européenne de justice,  précisément. 
Ce sont bien les enfants qui sont les victimes.  Personne d’autre ! (Chacun aurait fait une démarche identique.) 

Le propriétaire fait parvenir à la Cour européenne le dossier complet sur les conditions de maltraitance bien réelles de ces familles.  Maltraitances délibérément volontaires,  effectuées par les Pouvoirs publics,  cela au profit d’intérêts financiers privés. 

Il y ajoute le Non-lieu dont il fait l’objet et sur lequel figure la mention :
- « Conditions d’hébergement incompatibles avec la dignité humaine et mise en danger d’autrui. » 

La Cour européenne,  reçu 5/5.  Réponse du 19 janvier 1996 : 
« Dans la mesure où vous bénéficiez d’un non-lieu,  vous ne pouvez vous prétendre encore victime d’une violation de la Convention. » 

« Je ne vois pas en quoi le fait que le local dont vous êtes bailleur ait été déclaré insalubre,  soit une violation de l’article 3,  à votre encontre». 

Peut-on faire mieux ?  Peut être,  mais ce ne doit pas être très facile ! 


Seulement une illusion 
Chacun a compris.  La Cour européenne n’est qu’une ultime illusion de la Finance fasciste (la Finance des curés). 
Derrière le mensonge des professionnels de l’intox,  il n’y a rien.  Il n’y a que du vide.  Le néant. 

Comme nombre de choses,  la Cour européenne n’existe que dans l’imaginaire fertile des naïfs-prétentieux maintenus dans l’ignorance. 


Question : 
- La Déclaration universelle des Droits de l’homme ; 
- La Convention européenne de sauvegarde des Droits de l’homme ; 
Ces deux textes sont-ils le droit des victimes ou les outils des tortionnaires ? 


Réponse : - De l’encre sur du papier,  et rien d’autre. 
Contrairement au discours des pourvoyeurs d’ignorance pour le mensonge  (Les pourvoyeurs d’intoxication cérébrale)  que sont les journalistes et les enseignants,  ces textes ne sont que de l’encre sur du papier ordinaire. 
Ces textes ne sont pas au service des victimes.  Ils sont les outils des tortionnaires. 

La Déclaration universelle des Droits de l’homme et la Convention européenne de sauvegarde des Droits de l’homme ne sont que de la poudre que les tortionnaires jettent aux yeux des victimes et des futures victimes. 


Beaucoup le savaient déjà.  Il n’était pas nécessaire de leur démontrer. 
Il suffisait de savoir que le Président de l’époque de la Cour européenne de justice,  Monsieur WILDHABER Luzius,  de nationalité suisse est membre de l’Opus Deï,  mouvement ultra financier de l’église catholique. 





Aucun commentaire: