mardi 10 mai 2011

La juge des affaires familiales

.  

Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 




- LA  JUGE  DES  AFFAIRES  FAMILIALES - 
(La chronique d’un drame recherché) 

Par nature,  les fonctionnaires sont toujours à la recherche de quelque chose à voler. 


En 1998,  une des familles est parvenue à se sortir par elle-même de cette situation. 

Le deuxième couple a «la bonne idée» de ne plus s’entendre et de se séparer.  Du coup,  le mari et la femme vivent séparés avec chacun leurs propres enfants. 

Mis à part les factures impayées,  pour la première fois,  depuis longtemps,  on peut dire que cette maison est enfin occupée dans des conditions normales d’habitation. 


Le mari est resté dans les lieux avec ses 2 enfants. 
L’histoire aurait pu se terminer ainsi.  Mais,  c’est sans compter avec la détermination de la Juge des Affaires familiales,  Mme TOURNON,  qui,  poussée par un irrésistible instinct,  va décider,  elle,  sans demander l’avis à personne,  par ordonnance,  de replacer à nouveau,  tous les enfants dans la cave  et la cabane. 


Comme on va le constater,  cela va,  encore,  poser des problèmes.  (Pour la juge.) 
En effet,  pour replacer tous les enfants dans la cave et la cabane,  il faut,  pour Mme TOURNON  réaliser un tour de passe-passe inique. 


Mais rien n’arrête Mme TOURNON. 
Dans un élan de générosité sans précédent,  Mme TOURNON attribue à la femme,  les enfants du mari. 

Évidemment,  le mari et les enfants concernés apprécient modérément l’exploit judiciaire de Mme TOURNON. 

Dans un premier temps,  le mari et la femme en viennent gravement aux mains.  On imagine aussi la casse.  Tout ce qui peut être cassé est cassé.  Le mari,  après avoir pratiqué la politique de la terre brûlée,  est contraint de prendre la fuite et de rentrer provisoirement en  Afrique. 

Quant aux enfants,  prenant chacun fait et cause pour leur parent respectif,  le 3 juillet 1999,  ils s’entre-tuent littéralement aux couteaux. 


Deux enfants prendront la fuite. 
Un enfant survivra après 2 semaines de coma.  Quant au quatrième,  l’agressé,  la poitrine lardée de coups de couteaux,  il sera conduit en prison où il séjournera près d’un an. 
En effet,  il a eu la mauvaise idée de poursuivre ses agresseurs dans la rue.  (Et,  en France,  on a des principes.  Non mais !) 

Les voisins témoigneront que c’était comme un Western à la télé,  en mieux.  (De plus,  le spectacle n’était pas soumis à une redevance).

Plus sérieusement,  il est témoigné qu’il y avait du sang partout dans la cour ainsi que,  sur une centaine de mètres,  dans la rue. 

Quant à la juge des affaires familiales Mme TOURNON et au procureur de la République BARRAU Michel,  il se raconte qu’ils ont bien rigolé.  Il faut dire qu’ils avaient tout lieu d’êtres satisfait.  Ils ont fait du bon boulot ! 



Aucun commentaire: