mercredi 11 mai 2011

La juge d’instruction

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 




- LA JUGE D’INSTRUCTION - 

Par nature,  les fonctionnaires sont toujours à la recherche de quelque chose à voler. 


Cette instruction « temps perdu » qui,  il faut le rappeler,  va durer 10 mois,  sera menée par Mme CLEMENT MAZETIER. 
(Une bonne aussi !  Celle là !  Asservie à l’argent et à son dieu imaginaire,  la juge a été bien désignée.) 


Le propriétaire répond à la première convocation. 
Dès le premier contact, la juge d’instruction adopte une attitude délibérément insultante.  Cela ne surprendra personne.  Les enfants qui crèvent dans la cave insalubre,  la juge d’instruction,  elle s’en fout. 

D’ailleurs,  tout spécialiste juridique vous expliquera que,  juridiquement,  ce n’était pas son problème. 

Les enfants qui crèvent dans la cave insalubre,  Mme CLEMENT MAZETIER ne veut même pas en entendre parler. 

Ce qui intéresse Mme CLEMENT MAZETIER, c’est l’avocat de Mr Monnier : 
« Mais ?  Mr Monnier ?  Vous êtes venu sans avocat !  Vous avez bien un avocat ?  Mr Monnier ? 

Quand je vais vous convoquer,  la prochaine fois,  Mr Monnier,  il faudra venir avec votre avocat,  Mr Monnier.  Avez-vous un avocat,  Mr Monnier ?  Vous connaissez votre avocat ? 
Mr Monnier ? Mr Monnier ?  Votre avocaaa a  aaa ! » 

Bref,  les habitués de la procédure ont compris que non seulement les enfants qui crèvent dans la cave insalubre, Mme CLEMENT MAZETIER,  elle s’en fout (comme de sa première chemise) mais qu’en plus,  elle va exploiter la misère bien réelle de ces personnes pour,  elle aussi,  tenter un racket judiciaire contre le propriétaire. 

Après 9 mois d’instruction,  à l’ultime convocation de la juge,  le propriétaire envoie le dossier à la Cour européenne de justice.  (Art 3 de la Convention européenne)


Puis,  il répond vertement à la juge : 
« Le propriétaire s’est transporté sur les lieux,  il a une nouvelle fois constaté les conditions dans lesquelles vivaient ces familles » ; 
« Encore une fois,  il a constaté que la cave insalubre avait été aménagée en dortoir pour enfants,  qu’à cette occasion,  une installation électrique très dangereuse avait été bricolée » ; 
« Mais,  qu’en aucun cas,  lui,  le propriétaire,  normalisera une pareille situation ». 

Le propriétaire s’excuse de ne pas être en mesure de répondre favorablement à l’invitation de Mme CLEMENT MAZETIER.  Il est occupé ailleurs par des choses importantes.  La lettre est exempte de formule de politesse.  La surface de la feuille de papier est insuffisante.  (Comme la surface de la cave et la surface de la cabane)


Finalement,  comme déjà dit,  le propriétaire bénéficie d’un Non-lieu. 
Ce Non-lieu libère enfin d’un souci BARRAU Michel.  (Ah !  Quand même !)  Ainsi que Mme CLEMENT MAZETIER. 
Mais pas les enfants qui,  eux,  sont condamnés à séjourner un hiver de plus dans les lieux.  (Nous sommes en 1995,  il faut le rappeler,  ils y resteront jusqu’en juillet 1999)



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