jeudi 12 mai 2011

Le Procureur de la République

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 




- LE  PROCUREUR  DE LA  RÉPUBLIQUE - 

Par nature,  les fonctionnaires sont toujours à la recherche de quelque chose à voler. 


Le Procureur de la République,  BARRAU Michel,  lui aussi est alerté.  (Il est même dans tous ses états)

Il est vrai qu’en fin de période,  le Procureur sortira de situation la seule fillette qui vit au milieu de ses nombreux frères,  demi-frères  et cousins. 

Vivant à l’africaine,  la fillette est considérée comme une bonne à tout faire.  On peut parler d’esclavage.  Quant à l’hygiène ?  Il est préférable de ne pas en parler ! 

Pour le reste du temps,  le procureur de la République,  lui aussi,  fait durer : « Le plus longtemps possible ». 
Il connaît la consigne,  BARRAU Michel.  Cette consigne vient de qui ? 

Le procureur BARRAU Michel est précédé par une sinistre réputation.  Il n’y a qu’à demander au Juge Éric HALPHEN.  Il vous dira ce qu’il en pense. 

D’ailleurs,  après avoir multiplié les exploits au Parquet de Créteil,  BARRAU Michel sera nommé à Toulouse où il aura en charge d’étouffer la grande affaire.  (L’affaire Patrice Allègre) 

En attendant et histoire de gagner 10 mois,  en 1995,  le Procureur met le propriétaire,  victime du squat,  en « Examen ».  (C’est gratuit !) 

Bien sûr,  cette procédure,  stérile pour les enfants,  se terminera par un « Non-lieu » au profit du propriétaire. 
Cependant la chose aura permis aux enfants de passer un été de plus dans la cabane,  avant de revenir,  l’hiver,  dans la cave insalubre.  C’est toujours cela de gagné. 


Néanmoins,  il est utile de revenir sur le chef d’inculpation : 
- « Soumission d’une personne,  en abusant de sa vulnérabilité, à des conditions d’hébergement incompatibles avec la dignité humaine,  mise en danger de la personne par violation délibérée d’une obligation de sécurité et de prudence. »  Rien de moins ! 


Décidément, au Tribunal de Grande Instance de Créteil, on n’a vraiment rien à foutre. 
Qu’est ce que cela aurait été,  si le Procureur de la République BARRAU Michel avait su que ce n’était pas une,  mais au moins 12 personnes,  dont des enfants mineurs qui étaient soumis aux conditions d’hébergement incompatibles avec la dignité humaine,  cela par la faute d’un seul propriétaire !  Vous vous rendez compte ! 

On le voit,  pendant que les uns crèvent,  au Parquet … on s’amuse. 



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