vendredi 13 mai 2011

Les associations

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 




- LES  ASSOCIATIONS - 


La société croule sous  « LES »  associations. 
Elles sont nombreuses les associations.  Elles sont « humanitaires »,  « caritatives »,  « de défense de tous poils »,  etc. 

Ces associations sont subventionnées à prix d’or avec,  le plus souvent,  du bon et généreux argent social. 
De l’argent social,  directement ou indirectement,  prélevé dans les caisses publiques au détriment des bénéficiaires légitimes.  Pourquoi se priver ? 


Elles sont nombreuses ces associations. 
Certaines se disent de défense des immigrés.  Périodiquement,  ces associations font « la une ».  Elles dénoncent les mauvais traitements que les Pouvoirs publics et les entreprises privées réservent aux étrangers. 
Mais attention !  Ça,  c’est de la récupération politique.  Rien d’autre ! 


Et,  récupération politique,  au profit de qui ? 
On ne dit,  et on ne fait pas,  n’importe quoi.  Le discours doit remplir les poches et les caisses des promoteurs,  des élus et des curés  (Les Financiers charognards,  le capital de la Dette publique)
Pour le reste :  « Allez-vous faire foutre ! » 


Les associations font leur beurre de la misère. 
La misère est la source de la récupération politique.  Mais,  cette source n’est pas intarissable.  Il faut la ménager.  Et,  la gérer et la régénérer. 
Sur le terrain,  on ne fait pas n’importe quoi au profit de n’importe qui. 

De plus,  les « permanents bénévoles »,  de ces associations,  de pseudo défenseurs des émigrés,  sont plus portés à tirer profit pour eux mêmes des situations de détresse bien réelles de ces personnes. 

L’activité lucrative consiste à se livrer au racket sur quelques maladroits de commerçants,  de chefs d’entreprises ou encore,  de propriétaires. 


Il faut bien que les permanents bénévoles vivent de quelque chose. 
Ça mange,  un permanent bénévole !  Et,  dans ces milieux associatifs,  on ne s’ennuie pas.  On mange bien !  Champagne,  Caviar !  À la bonne vôtre ! 

Il ne faut pas croire !  Bien travaillée,  la misère est une matière première très lucrative.  Ce ne sont pas les curés qui nous diront le contraire. 


Dossier trop compliqué. 
Dans ce dossier,  il n’est pas possible de mettre en cause le propriétaire.   Trop compliqué ! 
De plus,  en travaillant ce dossier,  on remonte immanquablement à ces gens qui,  avec l’argent public,  financent grassement ces mêmes associations. 

Pour une association,  ce dossier est franchement ingérable.  La réponse de l’association est : « Vraiment,  vraiment,  trop … compliqué ».  (Allez-vous faire foutre !)  


Il ne faut pas compter non plus sur les journalistes. 
Les journalistes sont au service du capital de la Dette publique.  La règle première est de se taire. 


Les journalistes n’ont pas le temps.  Ils sont trop occupés ailleurs. 
Ce qui intéresse les journalistes  (Et les associations)  c’est l’image du système qui les nourrit. 
Les journalistes gagnent à pleurnicher sur le sort des otages bidons  (À l’étranger)  ou mieux,  de larmoyer sur les conditions d’hébergement des enfants dans les centres de rétentions.  Là,  c’est grave !  Le reste n’intéresse personne. 


On ne parlera de cette affaire que si cette affaire devient un instrument de manipulation. 
La seule chose qui compte,  c’est valoriser l’institution judiciaire aux mains des curés et vomir des saloperies sur des gens qui n’ont rien à se reprocher. 



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