samedi 14 mai 2011

La Préfecture

.  

Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 



- LA  PRÉFECTURE - 

Par nature,  les fonctionnaires sont toujours à la recherche de quelque chose à voler. 


À la Préfecture on finit par être alerté. 
Mais attention,  un fonctionnaire n’est pas un pompier.  Pour un fonctionnaire,  être alerté veut dire : «Il n’y a pas le feu au lac». 
D’autant que,  dans ce dossier,  la consigne est : « Faire durer le plus longtemps possible ». 

Néanmoins,  il est rapporté qu’à la Préfecture,  on s’est finalement décidé à faire une proposition de relogement pour ces familles.  (Ce n’est qu’une proposition.) 

Malheureusement,  à la ville de Vitry-sur-Seine,  le maire,  « l’Abbé communiste »  Alain AUDOUBERT,  s’oppose à ce relogement. 
À la ville de Vitry,  ses intérêts avant tout,  Alain AUDOUBERT,  a décidé que les enfants resteraient dans la cave sordide.  Un point,  c’est tout ! 


La misère des plus pauvres régale les plus riches. 
Les bien pensants,  donneurs de morale,  s’en mettent plein les poches. 

La situation dramatique de ces familles est porteuse d’un gros dossier social (un dossier très lucratif).  Mais,  il n’y a pas que cela. 

Il y a aussi quelque chose qui apparaîtra plus tard.  (À cet instant,  on n’imagine pas encore une sombre spéculation dans le cadre d’un projet foncier.) 

Ce dossier social,  avec certainement un bon nombre d’autres,  assure le niveau de vie des nantis.  Nantis qui,  eux,  vivent dans les beaux quartiers. 


Il faut donc veiller à n’apporter aucune solution à ces dossiers. 
Bien au contraire,  ne pas hésiter à multiplier les problèmes.  Cela,  en attendant un évènement grave.  Lequel évènement permettra aux Financiers charognards de s’emparer à bon compte de ces précieux m2 de terrain,  tant convoités. 


Un seul mot d’ordre :
« Faire durer ».  Les enfants de ces familles seront donc maintenus l’hiver dans la cave,  l’été dans la cabane jusqu’en 1999.  Date à laquelle,  on va le voir,  l’affaire se terminera dans un bain de sang. 



Aucun commentaire: