lundi 16 mai 2011

L’assistante sociale

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit matérielle ou cérébrale, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 


Dans cette Europe dominée par les curés,  l’argent sert à créer les problèmes.  Non pas à les résoudre ! 



- L’ASSISTANTE  SOCIALE  DE  VITRY -


Les enfants ne mangent que le midi à l’école. 
Les enfants dorment à même le sol sur de vieux matelas.  Certains enfants,  en bas âge,  font « pipi au lit ».  Il règne dans cette cave une odeur épouvantable. 

Cette odeur insoutenable incommode même dans la rue et,  d’après les voisins,  l’odeur pénètre aussi l’intérieur des maisons du voisinage. 

Par l’école,  les services sociaux sont informés de la situation des enfants.  L’assistante sociale principale de la ville de Vitry-sur-Seine convoque le propriétaire. 


Le chantage 
En répondant à l’invitation de l’assistante sociale,  le propriétaire victime du squat,  pense naïvement que la ville de Vitry-sur-Seine envisage une solution pour loger convenablement les enfants.  Pas du tout ! 


L’assistante sociale n’est aucunement préoccupée par le sort des enfants. 
Son souci unique,  à cette assistante sociale,  c’est d’exploiter la situation des enfants pour convaincre le propriétaire de vendre la maison. 


Enfin,  quand on dit :  « vendre ! »,  le terme :  « abandonner » conviendrait mieux. 
Il faut savoir qu’à ce niveau,  le métier d’assistante sociale se double d’un très lucratif business immobilier. 

On peut être propriétaire et être confronté à des problèmes d’argent.  (Divorce,  chômage,  etc.).  Et,  l’assistante sociale connaît son métier.  (Elle le dit elle-même.)  Le business des dossiers sociaux,  c’est sa spécialité.  (On ne la contredira pas !) 


À la question « souhaitez-vous vendre votre pavillon » ? 
Le propriétaire répond « non ».  En conséquence,  le débat est clos et les enfants seront maintenus,  sans soins,  livrés à eux mêmes dans la maison,  jusqu’au retour des parents,  quatre mois plus tard. 

On ne s’attarde pas sur les quatre mois d’absence des parents.  Chacun donnera sa version.  Une version qui assaisonne la sauce de mauvaise foi de chacun. 


Aux Jeux Olympiques de l’embrouille,  le maire de Vitry,  Alain AUDOUBERT,  est Médaillé d’Or. 
Courrier en notre possession :  « La version de « l’Abbé communiste »,  Alain AUDOUBERT,  maire de Vitry sur Seine,  n’est pas triste. » 

Alors qu’il a spéculé sur l’absence des parents pour mettre à genou le propriétaire.  Qu’il n’avait rien à gagner au retour des parents en France.  Qu’il a tout fait pour que ceux-ci soient refoulés systématiquement à chaque fois qu’ils se présentaient à la douane.  (Il ne faut pas croire,  les curés possèdent de très gros moyens !) 


« L’Abbé communiste »  Alain AUDOUBERT,  écrit aux parents : 
« C’est sur l’intervention de mes services sociaux auprès de votre Ambassade que vous avez dû rentrer ». 

Cela,  avant d’ajouter : 
« Dès l’instant où vous êtes revenus en France,  c’est la preuve que vous pouvez repartir ».  (Lettre du 01 août 1994) 


Assumer ses propos.  
On peut penser et dire ce que l’on veut.  Il faut assumer ses propos.  Visiblement « l’abbé communiste »,  Alain AUDOUBERT,  maire de Vitry-sur-Seine a fait ses études chez les Jésuites.  Il n’assume pas ! 

Il est inutile de préciser que le retour des parents en France ne changera en rien le sort de ces familles.  Par le blocage de la mairie de Vitry-sur-Seine,  ni l’électricité,  ni l’eau ne seront rétablies pour autant dans l’immédiat. 



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